une fois d’infinité tendresse sont tes larmes
d’y reprendre l’histoire ni au début ni à la fin
– C’est lourd d’être le poids, répond Clara, ou de croire qu’on l’est. C’est ça, tu vois.
– C’est le monde qui t’aspire, dit Maude. Moi j’y vois toi. Sur le versant de nous.
Loin des plateaux et de ces chansons qui endorment, un autre pied berger pour y tenir le corps. Tout effacer encore pour toujours tout refaire.
Ou les rivières de notre humanitude.

Photo : LE PRINTEMPS DE NOS ÂMES * Avant-hier – Montréal
Toujours ces mots, lourds et légers à la fois et qui aspirent l’attention vers tellement de suites à imaginer. (Hou, que ma phrase est vilaine. Mais elle dit ce que je veux dire, je crois. )
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Vilain vilaine chapeau de laine et l’enfant sur le bord de l’eau. On imagine combien de suites pour un joli corbeau… ou était-ce un petit bateau ?…
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Au fil de lin, au fil de l’eau
L’enfant vilain,
Corbeau de laine,
Gare ton bateau sous ton chapeau !
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