Tu parles d’un fossé, d’un lieu mystique et noir.
Comme quoi les grands arbres font de l’ombre partout.
Il faut pas s’étonner des mares pleines d’algues,
des tristesses, des bonheurs et des peines
qui s’y mêlent.
Les semaines s’écoulent depuis la ressemblance
et t’y trouves encore d’autres images.
Cette candeur qui t’a eue plus d’une fois sur la route.
Fascinant comme les champs nous cachent les bestioles.
Tant les bêtes à sang chaud que les bêtes à sang froid.
Tu veux dire. Mais tu veux qu’on t’oublie, ton existence aussi.
Te glisser près des pierres sans déchirer ta peau.
Elle est mince. Et jalouse, ta peau.
Mais d’elle-même, pas des autres. *
–
* Those words were a long time coming

Photo : SIMPLE BEAUTY * Mi-mai – Montréal 2025
Quelle merveille d’arbre dans l’eau….. encore l’eau…. et je te souris tant tes mots et cette image magique me touchent
Des bisous tout doux
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Ici encore je t’embrasse, la louve. Et merci.
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Beauté simple, simple beauté…
Superbe
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Merci, Anik…
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Pas disparaître
non –
mais se fondre dans le gris des pierres
comme la pluie
(merci)
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