Sudare Et ce chaud, ce bruit de chaud.Cette horloge sans aiguilles.Et là, tes épaules. Le lin comme une deuxième peau.Et tu lui donnes le corps de ton matin.De ta nuit qui se rend. Tes pensées iront où elles vont.Tous les tissages faux font crier la suée. Je garde un faible pour les anges déchus.Il pleut dans la cour. Mais pleut-il ailleurs? Photo – EXISTERE (SORTIR) * Hier – MontréalPartage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 2 réponses à Sudare terrain vague 4 months ago eux s’allongent dans l’herbe mouillée se rient de leurs ailes froissées ils boivent à la source du ciel dans des verres sans cesse trop plein J’aimeAimé par 2 personnes Caroline D – Auteur 4 months ago Merci, Jacques. J’aimeJ’aime Répondre à terrain vague Annuler la réponse.
terrain vague 4 months ago eux s’allongent dans l’herbe mouillée se rient de leurs ailes froissées ils boivent à la source du ciel dans des verres sans cesse trop plein J’aimeAimé par 2 personnes
eux
s’allongent dans l’herbe mouillée
se rient de leurs ailes
froissées
ils boivent à la source du ciel
dans des verres sans cesse
trop plein
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Merci, Jacques.
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