L’individuel, c’est la fascination déchirée.
Non pas apaisée : déchirée.
Pascal Quignard
Et les ombres de plus en plus longues.
Mais le froid sait aussi assourdir la peine.
C’en est un pour les oiseaux de ville, le béton et les chats.
Et aussi pour ce creux de saison.
Dans les jours où ça crie, je me demande où s’en va l’ardeur.
Par chance les feuilles, le flux et le reflux.
Le soleil ne ment pas. Ni l’automne non plus.
Mais le froid sait aussi assourdir la peine.
C’en est un pour les oiseaux de ville, le béton et les chats.
Et aussi pour ce creux de saison.
Dans les jours où ça crie, je me demande où s’en va l’ardeur.
Par chance les feuilles, le flux et le reflux.
Le soleil ne ment pas. Ni l’automne non plus.

Photo – BLANCHEUR D’ALBÂTRE OU UN MATIN D’AUTOMNE – Septembre 2025 – Montréal
Ce qui me fascine chez l’humain, c’est qu’il se croit souvent le seul à pourvoir. Alors il imagine, l’autre comme une île isolée, quand il ne sent pas qu’il peut donner ou comment. Le monde est vaste, et nourrissant pourtant, c’est l’expérience dans le corps que j’ai régulièrement.
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une image et un texte que je peux faire miens, là tout de suite….
je t’embrasse Caroline 🩷
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Merci, Caroline!
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le soir descend
plus tôt
avec ce bleu orange
qui adoucit les visages
émoussés
les choses reviennent –
on dirait
à leur point de départ
mais autrement
comme si la lumière
elle aussi
avait vieilli
(merci)
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