Sept octobre

Une sorte de vide, d’espace inoccupé.
De tout tenir sans rien serrer.

Si le ciel est plus gris qu’hier, la lumière change et reste belle.

À la fenêtre deux pots de verre et des tiges dans l’eau.
Il pleuvra tout à l’heure mais c’est sans histoire qui sombre.

Ça va. On s’en sort pas mal avec ça.

Photo – Hier * Montréal 2025

2 réponses à Sept octobre

  1. le silence se glisse

    entre les syllabes

    que tu ne dis pas

    il y a ce parfum de terre mouillée

    qui se répand dans la chambre

    je suis immobile

    rien n’exige de moi

    rien ne se plaint

    je me surprends à sourire

    aux anges

    /

    Merci

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