Sept octobre Une sorte de vide, d’espace inoccupé.De tout tenir sans rien serrer. Si le ciel est plus gris qu’hier, la lumière change et reste belle. À la fenêtre deux pots de verre et des tiges dans l’eau.Il pleuvra tout à l’heure mais c’est sans histoire qui sombre. Ça va. On s’en sort pas mal avec ça. Photo – Hier * Montréal 2025Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 2 réponses à Sept octobre terrain vague 2 months ago le silence se glisse entre les syllabes que tu ne dis pas il y a ce parfum de terre mouillée qui se répand dans la chambre je suis immobile rien n’exige de moi rien ne se plaint je me surprends à sourire aux anges / Merci J’aimeAimé par 1 personne Caroline D – Auteur 2 months ago / Merci, Jacques J’aimeJ’aime Laisser un commentaire Annuler la réponse.
terrain vague 2 months ago le silence se glisse entre les syllabes que tu ne dis pas il y a ce parfum de terre mouillée qui se répand dans la chambre je suis immobile rien n’exige de moi rien ne se plaint je me surprends à sourire aux anges / Merci J’aimeAimé par 1 personne
le silence se glisse
entre les syllabes
que tu ne dis pas
il y a ce parfum de terre mouillée
qui se répand dans la chambre
je suis immobile
rien n’exige de moi
rien ne se plaint
je me surprends à sourire
aux anges
/
Merci
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/ Merci, Jacques
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