dans le fleuve des jours
la lumière
son impossible absence
et le printemps qui tend
vers ici
lentement
la montagne était de glace
et absolument belle
mais quand même
un p’tit enfer pour le dos
à peser chaque pas
pour ne pas tomber
j’ai marché avec anne
ça faisait longtemps ensemble
c’était avant qu’elle parte au japon
et l’hiver continue
les jours s’allongent
la valse du temps
qui se poursuit
et la lumière encore
il m’arrive de me dire
quel étrange miracle
∼
Photo/Triptyque : TOUJOURS LA LUMIÈRE – Hier, entre montagne et plateau
le printemps arrive lentement mais sûrement, avec quelques ratés cependant mais on sent la Lumière sourdre….
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C’est vrai que la lumière permet de mieux apprécier la beauté du monde; j’ai eu une petite pensée cet après-midi pour nos frères et sœurs de Norvège qui tout en habitant un endroit merveilleux ont dû se contenter durant les derniers mois de quelques heures de luminosité.
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Le printemps du cœur a l’énergie débordante où qu’il soit, contrairement au printemps là-bas, très au sud. Une toute belle journée printanière, Caroline.
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..mais la glace joue si bien avec la lumière…jeu de noir et de blanc, beauté de cet hivers qui vous tarde, vous de là-bas..ici, il se fait gris le printemps en ces jours, sauf dans ma cour, où le vert ressurgit….ce vert tendre de la promesse de demain…
doux réveil, belle caroline
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Lumière toujours : elle ne sait pas être absente, et surtout de ce poème là.
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Oui quel superbe miracle que cette lumière qui nous vient minute après minute toujours davantage. Les plantes et les animaux le sentent bien avant nous et aussi les humains qui sont un peu plante et un peu animal ;o)
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