je regardais le ciel
aussi bleu qu’il sait l’être
et puis dans le journal
une image
tous ces états d’urgence
et la poésie qui tremble
d’être mais si légère
et j’ai marché
et des heures ont passé
la lumière a changé
et je me suis dit
que l’art le plus fuyant
celui dont je rêve
à travers chaque image
chaque vers chaque silence
celui qui m’emporte et me fait continuer
et que je cherche par-dessus tous les autres
n’est toujours
que celui d’être libre

RALENTIR AU SOLEIL (moment d’extase) – Avenue du Mont-Royal, cette semaine
c’est très beau, merci!
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Il est bon de choyer sa liberté, en lignes, en mots, en pensées ou sans lignes, sans mots … mais pas sans pensées. Une toute belle journée à vous, Caroline.
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oui, belle caroline, d’oser encore et encore être libre..d’oser voler vers ce qui nous porte, ce qui nous donne la force d’ouvrir aussi le journal…sourire…merci pour ce soleil, merci pour le silence de ce ralenti…et douce journée à toi et douce marche aussi…
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le poème de ce soir (heure de nz), parle également de liberté, quelle jolie coïncidence, belle image et beaux mots, merci Caroline 🙂
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pas facile, et très exigeant comme programme
bien tournées ces lignes
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Oh oui, c’est un art délicat.
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Je termine un livre d’un auteur islandais qui parle bellement de la poésie et de la liberté. Il s’appelle Jon Kalman Stefansson » D’ailleurs , les poissons n’ont pas de pieds « . Tes mots résonnent parfaitement avec cette lecture.
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Alors alors… je viens de l’emprunter ce livre, à la bibliothèque virtuelle de ma ville… Juste le prélude, déjà, résonne si bellement en moi… Je sens que je vais y aller voguer, ici et là, au fil des temps qui viennent… Merci, chère Fanfrelune.
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Merci,
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