À mesure que le soleil bouge Les jours. De plus en plus courts. Et la pluie. Et les heures aussi. Qui ne disent rien d’avance. Sinon que les nuages vont. Pareil à l’ombre sur l’asphalte à mesure que le soleil bouge. J’embarque encore, souffle-t-elle. Pour autant que ça continue. ∼ Photo : MON SAC DE PRÉDILECTION ou LE PARAPLUIE DE TANTE DENISE (autoportrait) – Hier, rue Beaubien * Novembre 2017 Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 8 réponses à À mesure que le soleil bouge Gilles Labruyère 17 novembre 2017 Tant de cycles aux temporalités incohérentes se superposent et s’interposent que j’y vois surtout le reflet de mon chaos. J’aimeAimé par 1 personne carnetsparesseux 17 novembre 2017 Pluie, nuit, embarquement ; de chaque bord de la grande eau les échos de l’Arche s’appellent 🙂 J’aimeAimé par 1 personne Ph.C. 17 novembre 2017 j’aime beaucoup (aussi) l’autoportrait qui laisse imaginer plus qu’il ne donne à voir… J’aimeAimé par 2 personnes malyloup 17 novembre 2017 j’embarque volontiers sur les flots de tes mots plutôt que sur ceux de la pluie…..hihihi…..et beau, beau l’autoportrait…….mmmmmmmmmmmm J’aimeAimé par 1 personne cecilecamatte 18 novembre 2017 Beau duo, autoportrait mystérieux à souhait… J’aimeAimé par 1 personne irene tetaz 20 novembre 2017 quel magnifique autoportrait, d’encre noire et de pluie.. parfois le gris et noir est si beau, jusqu’au bout des mots… J’aimeAimé par 1 personne walachniewicz 25 novembre 2017 Comme elle suggère cette photo, un infini… J’aimeAimé par 1 personne Francis Palluau 26 novembre 2017 Particulièrement beau ! J’aimeAimé par 1 personne Répondre à carnetsparesseux Annuler la réponse.
Gilles Labruyère 17 novembre 2017 Tant de cycles aux temporalités incohérentes se superposent et s’interposent que j’y vois surtout le reflet de mon chaos. J’aimeAimé par 1 personne
carnetsparesseux 17 novembre 2017 Pluie, nuit, embarquement ; de chaque bord de la grande eau les échos de l’Arche s’appellent 🙂 J’aimeAimé par 1 personne
Ph.C. 17 novembre 2017 j’aime beaucoup (aussi) l’autoportrait qui laisse imaginer plus qu’il ne donne à voir… J’aimeAimé par 2 personnes
malyloup 17 novembre 2017 j’embarque volontiers sur les flots de tes mots plutôt que sur ceux de la pluie…..hihihi…..et beau, beau l’autoportrait…….mmmmmmmmmmmm J’aimeAimé par 1 personne
cecilecamatte 18 novembre 2017 Beau duo, autoportrait mystérieux à souhait… J’aimeAimé par 1 personne
irene tetaz 20 novembre 2017 quel magnifique autoportrait, d’encre noire et de pluie.. parfois le gris et noir est si beau, jusqu’au bout des mots… J’aimeAimé par 1 personne
Tant de cycles aux temporalités incohérentes se superposent et s’interposent que j’y vois surtout le reflet de mon chaos.
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Pluie, nuit, embarquement ; de chaque bord de la grande eau les échos de l’Arche s’appellent 🙂
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j’aime beaucoup (aussi) l’autoportrait qui laisse imaginer plus qu’il ne donne à voir…
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j’embarque volontiers sur les flots de tes mots plutôt que sur ceux de la pluie…..hihihi…..et beau, beau l’autoportrait…….mmmmmmmmmmmm
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Beau duo, autoportrait mystérieux à souhait…
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quel magnifique autoportrait,
d’encre noire et de pluie..
parfois le gris et noir est si beau,
jusqu’au bout des mots…
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Comme elle suggère cette photo, un infini…
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Particulièrement beau !
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