Les jours.
De plus en plus courts.
Et la pluie.
Et les heures aussi.
Qui ne disent rien d’avance.
Sinon que les nuages vont.
Pareil à l’ombre sur l’asphalte à mesure que le soleil bouge.
J’embarque encore, souffle-t-elle.
Pour autant que ça continue.
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Photo : MON SAC DE PRÉDILECTION ou LE PARAPLUIE DE TANTE DENISE (autoportrait) – Hier, rue Beaubien * Novembre 2017
Tant de cycles aux temporalités incohérentes se superposent et s’interposent que j’y vois surtout le reflet de mon chaos.
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Pluie, nuit, embarquement ; de chaque bord de la grande eau les échos de l’Arche s’appellent 🙂
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j’aime beaucoup (aussi) l’autoportrait qui laisse imaginer plus qu’il ne donne à voir…
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j’embarque volontiers sur les flots de tes mots plutôt que sur ceux de la pluie…..hihihi…..et beau, beau l’autoportrait…….mmmmmmmmmmmm
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Beau duo, autoportrait mystérieux à souhait…
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quel magnifique autoportrait,
d’encre noire et de pluie..
parfois le gris et noir est si beau,
jusqu’au bout des mots…
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Comme elle suggère cette photo, un infini…
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Particulièrement beau !
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