Au bord d’un fleuve blanc et puis l’horloge et les souvenirs les abris au bord de nos pas la neige miroite sur ma ville tranquille et j’ai pensé à lui son cœur perdu au milieu de la foule il se rêvait ailleurs dans le vent d’un matin au bord d’un fleuve blanc le temps nous lie et nous sépare j’aimerais pour un moment m’y trouver avec lui Photo : SOUVENANCE – Hier, 16h56, Montréal Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Une réponse à Au bord d’un fleuve blanc irene tetaz 10 février 2018 et je me laisse couler « au bord d’un fleuve blanc » sous les rayons dorés de ce côté-ci de la grande-bleue… douce pensée, belle caroline de là-bas J’aimeAimé par 3 personnes Laisser un commentaire Annuler la réponse.
irene tetaz 10 février 2018 et je me laisse couler « au bord d’un fleuve blanc » sous les rayons dorés de ce côté-ci de la grande-bleue… douce pensée, belle caroline de là-bas J’aimeAimé par 3 personnes
et je me laisse couler
« au bord d’un fleuve blanc »
sous les rayons dorés
de ce côté-ci
de la grande-bleue…
douce pensée,
belle caroline de là-bas
J’aimeAimé par 3 personnes