Tant qu’on aura le ciel et l’eau et ce vieux bateau troué qui s’amuse à prendre l’eau dans la nuit qui s’achève t’en fais pas, s’il le faut on nagera jusqu’au désert en glissant sur la peau de l’âme on fendra le jour dans la vague avec le vent derrière il peut vaciller le bateau frémir dans le souffle de l’aube tant qu’on aura le ciel et l’eau ∼ Photo : LA TRANSPARENCE DES JOURS – Au bord du lac Kénogami * Juin 2018 Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) 3 réponses à Tant qu’on aura le ciel et l’eau gilles l. 17 juin 2018 C’est vrai que le trou dans le bateau, même petit, prend souvent plus de place que le ciel et l’eau. J’aimeAimé par 1 personne cecilecamatte 18 juin 2018 … en glissant sur la peau de l’âme… magnifique image. J’aimeAimé par 1 personne walachniewicz 25 juin 2018 nos miroirs et nos imaginaires… J’aimeAimé par 1 personne Répondre à cecilecamatte Annuler la réponse.
gilles l. 17 juin 2018 C’est vrai que le trou dans le bateau, même petit, prend souvent plus de place que le ciel et l’eau. J’aimeAimé par 1 personne
cecilecamatte 18 juin 2018 … en glissant sur la peau de l’âme… magnifique image. J’aimeAimé par 1 personne
C’est vrai que le trou dans le bateau, même petit, prend souvent plus de place que le ciel et l’eau.
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… en glissant sur la peau de l’âme… magnifique image.
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nos miroirs et nos imaginaires…
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