Dessus le jour

L’oiseau fait encore son chemin sur un espoir savant. Là où résonne le chant de l’humble, celui d’avant qu’on s’aliène la mort. Et tout ce temps dessus le jour, le poids des coeurs ne change pas.

Vous dire combien je l’ai vue belle malgré nos vaines prétentions. Là où le vent sait l’arbre, ses saisons et ses danses, on joue encore d’orgueil, de pouvoirs futiles. Jusqu’à perdre le pas, la tendre cadence.

Photo : ET TOUJOURS LA BEAUTÉ – Hier – Montréal

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