L’oiseau fait encore son chemin sur un espoir savant. Là où résonne le chant de l’humble, celui d’avant qu’on s’aliène la mort. Et tout ce temps dessus le jour, le poids des coeurs ne change pas.
Vous dire combien je l’ai vue belle malgré nos vaines prétentions. Là où le vent sait l’arbre, ses saisons et ses danses, on joue encore d’orgueil, de pouvoirs futiles. Jusqu’à perdre le pas, la tendre cadence.
Photo : ET TOUJOURS LA BEAUTÉ – Hier – Montréal
Je ne suis pas trop contre l’orgueil quand c’est la vie qui pousse par derrière la conscience !
Bise et douceur et sourire, Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
Chère Caroline,
Quelle belle musicalité dans tes mots ! J’aime tes images et cette sublime syntaxe en noir et blanc que tu maîtrises au fil du temps avec un bonheur incomparable.
J’aimeAimé par 1 personne
Feels good! 🙂
J’aimeAimé par 1 personne