Précarité c’est le même piano encoreet j’y cherche mes motset aussi à briserle grand dos de l’orgueil le cheval était fort et blancet je me sors de cet hiveravec quelques sabots de larmes et là maintenantce même visage qui s’emparedu coulant de la pluie toujours l’instant y trahit l’autreque le temps y bouge PHOTO : CE QU’ON NE VOIT JAMAIS VENIR – Montréal * Avril 2022Partage Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest J’aime chargement… Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Une réponse à Précarité imago270 22 avril 2022 intensité quand tu nous tiens…dire que l’on peut « se détacher des choses » est une drôle de pirouette J’aimeAimé par 1 personne Laisser un commentaire Annuler la réponse.
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intensité quand tu nous tiens…dire que l’on peut « se détacher des choses » est une drôle de pirouette
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