c’est le même piano encore
et j’y cherche mes mots
et aussi à briser
le grand dos de l’orgueil
le cheval était fort et blanc
et je me sors de cet hiver
avec quelques sabots de larmes
et là maintenant
ce même visage qui s’empare
du coulant de la pluie
toujours l’instant y trahit l’autre
que le temps y bouge

PHOTO : CE QU’ON NE VOIT JAMAIS VENIR – Montréal * Avril 2022
intensité quand tu nous tiens…dire que l’on peut « se détacher des choses » est une drôle de pirouette
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