On se verra, dis-moi, au bal des amoureux?
Petit étang, petit enfant. Rien qui ne fasse tomber les gros châteaux de sable. Ni voler les poussières qui sont trop hautes pour les bras. Les matins continuent entre nos océans troués et nos écrans qui chauffent. Mais t’en fais pas maman, je ne casserai rien. Ni les amas de neige restés collés aux branches ni l’espoir qu’il nous reste d’arriver à plus tendre.
Je prendrais quand même ton épaule pour y pleurer un peu. Sur ce que je ne verrai pas et sur ce que je vois.
T’auras eu tes tempêtes. Bien assez pour te faire un ciel qui laissait passer les nuages et sonner la musique. Et j’aurai trouvé des sentiers, souvent de poésie, pour nourrir mon désir de rester dans ce monde.
De belles fêtes à tous. Merci à vous qui me lisez.

Photo : AU P’TIT BONHEUR DU TEMPS * Hier – Montréal
Belles fêtes à toi aussi, Caroline.
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Bonnes fêtes bien froides semble t’il.
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Bonnes fêtes à toi aussi, amie poète 🎄🎄🎄
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Merci pour tes mots, Caroline. Belles fêtes à toi! ✨❣️
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Merci, Caroline.
Le chemin, c’est un pas puis un autre …
Bise, douceur et sourires à toutes et à tous.
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Belles fêtes à vous et encore merci pour tout ce que nous partageons ici ou là !
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Joyeuses fêtes à toi aussi, et de la poésie, toujours !
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De très belles fêtes à toi aussi Caroline !
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