Surtout n’oublie pas la délicatesse. On s’en sortira. Nos amours sont des anges troubadours. On s’en sortira. Pour voir derrière le mur, suffira de s’ébattre, de revenir en arrière peut-être, et de tourner sur nous-mêmes. Parce que l’histoire se répète, pour nous et les autres. Les désespoirs nous emportent comme des bateaux sur l’océan. Et puis ils nous ramènent pour la fin. Et la suite. On se réinvente, et puis ça y est. Les enfants nous font rire à nouveau. Nos cœurs battent, et ça suffit.

LE PENCHANT – Hier, sur l’avenue De Lorimier
Merci Belle Caroline, Gratitude pour tes profondes, conscientes et « savoureuses » réflexions qui élèvent.. font sourire le coeur…un pur délice! xx
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quelle délicieuse espérance tu nous chantes là, caroline…….elle berce l’enfant en moi et ça, çaaaaaaaa……..merciiiiii tout plein
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quelle magnifique image, tableau, juste là, où te mots répondent avec tant de justesse à ce qu’elle est…pour tout cela merci, belle caroline
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« On s’en sortira… » J’espère que tu dis juste. Merci pour ce beau texte.
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Qu’y a-t-il derrière le mur, se demandait ma petite Jodhra, tentant de retrouver le chant des enfants de la ronde.
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On revient au port même s’il est différent parfois et c’est bien comme cela
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