et l’eau fraîche versée
où les oiseaux viendront
près de l’érable vif
le silence est nappé
sur la pierre brûlante
et pourtant on dirait que je t’aime
dans la liesse alchimique
de ne rien y savoir
de n’y vouloir surtout
que le coup de mon sang
les broussailles de mon coeur
dans son épaillement
passer à l’ombre belle
au sauvage des jours
avec rien à mourir
que la peur du dernier
où le corps en démêle
de toute l’éternité
Photo – TOUJOURS SUR LE CHEMIN DES FEUILLES * Hier, le long de la voie ferrée – Montréal
Wow, Caroline. Your words go right to the heart and to the gut also. Thank you always.
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Elle est là, l’ombre belle….
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Les broussailles de mon cœur.. on ne sait rien de l’instant qui vient, de ce qu’il apporte, de ce qu’il emporte.
Pensée d’outre-atlantique, chère Caroline
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les broussailles de mon coeur
dans son épaillement
C’est magnifique, j’en suis sidérée !
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Fine shot!
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Ah! Que ta poésie me touche encore et toujours…
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Juste-là, sans voix,
Émue..
Merci, tendre toi
Des bises si douces..
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[…] Passer à l’ombre belle […]
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Moi aussi… Comme tous ces autres. Je me rends compte à quel point tes mots m’ont manqué.
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