Ma nostalgie déjà.
Comme si quelque chose de perdu.
Mais ma tristesse n’est pas plus grande que celle de l’oiseau.
Te faut me voir quand je boussole par-delà mon errance.
C’est vrai que j’aime aussi la brume. Et que j’y viens toujours
à grands coups de beauté, même quand la mer tombe.
Je m’abstrais de la vague pour l’ange de l’inférence.
Pour ses plus beaux enfants jusque dans ses fosses à mourir.
Et quand mes yeux se brûlent sur la flamme du monde, je vole.
Photo – LE BEL OISEAU SUR LE TROTTOIR * Juillet 2020 – Montréal
Pour mon lever d’oiseau, Merci Caroline….
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La mélancolie efface les contours, oeuvre d’intranquillité, crée un écart…
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pour l’oiseau
pour l’envol
pour ces grands coups de beauté
merci, Caroline…
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De quoi est libre l’oiseau libre ?
Bise et douceur, Caroline.
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J’observe tous ces oiseaux en étirant mon café du matin. J’essaie de deviner lequel aurait bien pu te voir boussoler par-delà ton errance et puis je le regarde s’envoler, curieux.
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Superbe texte Caroline.merci.
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La nuit, le jour toujours autour,
l’arbre tourne avec sa terre.
La tête plantée au ciel caresse les nuages
& quand s’abrite dedans par hasard un oiseau
Elle dit « va zy raconte là bas,là haut! »
*
Amical Mirliton
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