La belle eau

Et ce pendant qu’on ne décide rien, de pouvoir y couler, roucouler sur la suite. Heureusement le ciel aussi fait mieux que ma complainte. Et d’encore me vêtir. Pizarnik, Emaz, Arendt. Pénétrée jusqu’aux os, mon âme qui s’engoue, se berce, se mêle sans se perdre.

Si je longe l’hiver et son corps poétique, c’est que j’y sens la belle eau des rivières.

Photo : LA ROUTE DU JOUR * Mars 2023 – Montréal

4 réponses à La belle eau

  1. « Si je longe l’hiver et son corps poétique, c’est que j’y sens la belle eau des rivières. » et moi, j’ai lu trop vite « j’y suis la belle eau des rivières », et cela aussi est vrai.

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire