Et ce pendant qu’on ne décide rien, de pouvoir y couler, roucouler sur la suite. Heureusement le ciel aussi fait mieux que ma complainte. Et d’encore me vêtir. Pizarnik, Emaz, Arendt. Pénétrée jusqu’aux os, mon âme qui s’engoue, se berce, se mêle sans se perdre.
Si je longe l’hiver et son corps poétique, c’est que j’y sens la belle eau des rivières.

Photo : LA ROUTE DU JOUR * Mars 2023 – Montréal
De l’autre côté de la nuit
l’attend son nom
son subreptice désir de vivre,
de l’autre côté de la nuit !
Quelque chose pleure dans l’air,
les sons dessinent l’aube.
Belle découverte, merci Caroline.
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N’est-ce pas.
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« Si je longe l’hiver et son corps poétique, c’est que j’y sens la belle eau des rivières. » et moi, j’ai lu trop vite « j’y suis la belle eau des rivières », et cela aussi est vrai.
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De la bonne nourriture
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