comme le bout de bois sur la grève
la pierre lovée dans un creux de la terre
le vent qui souffle sans rien chercher
et la vie, la vie qui se donne
*
dans l’écume épaisse des vagues mondaines
la peur d’échouer et celle de s’échouer
mais ailleurs l’océan
qui te prend jusqu’à l’âme
je voguerais à l’infini
que je n’en aurais pas trop
moquez-vous, soyez cruels et moquez-vous
du haut de vos prétentions
il n’en restera pas moins
mille mers intérieures
où devenir libre
Adorei, parabéns.😉
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Intérieur, extérieur, et entre une vapeur chamarrée que la brise dissipe. Suis-je dedans, suis-je dehors, suis-je ? Belle liberté enchantée, Caroline !
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Alors cap sur ces « mille mers intérieures » … J’ aimerai bien être de l ‘aventure 🙂
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que c’est beau, que c’est toi, les mots, le portrait…
merci belle caroline, merci pour ce cadeau du soir,
ici de l’autre côté de l’océan,
mais d’une mer si proche…sourire
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Mille mers… de quoi suivre le vent, armé de l’espérance et faire bombance d’errance d’amour et de vie.
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J’aime ta vérité, ta sincérité
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