J’y vais de maigre bouche, c’est plus tranquille ainsi. Au lieu de rien quand même, je te dirai l’herbe jaunie, les feuilles rousses, le trottoir bruni par la pluie. Le teint chaud de ma rue au sortant de l’hiver. Et mon désir qui continue d’y voir le matin qui s’engage, les jours qui se rendent, la pression qui bascule, et les chiens qui nous mordent l’âme.
Photo – CHAUDE CARESSE – Avant-hier – Montréal
Quelle splendeur ta photo Caroline ! Et pour les mots qui l’accompagnent, merci.
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à la fin de l’hiver
seuls des fantômes et
tout ce qui s’ensuit
Merci
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Wonderful photo, Caroline!
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C’est beau, merci
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J’adore
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J’adore.
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