je nous ai vus
qui courions loin de l’aube
vers des miroirs éclatants et de grands paravents
et puis je nous ai vus nous aimer comme des fous
sous un ciel aussi vaste que nos yeux devenus
à rêver d’un monde où le tendre
ne se lasserait pas
et partout il y avait le temps
qui jamais ne se perd ni jamais n’est perdu
qu’importe le lit ou la rue, le beau ou l’ordinaire
le temps
pour y bercer le rire jusqu’au bout de la nuit
tant qu’il y reste un coeur encore ému à prendre
∼
Photo : LE ROSE D’I * Sur le mont Royal – Octobre 2018
tant qu’il reste un coeur encore ému à prendre, le temps prend son temps
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Et le rire et le cœur pour Irène !
Bises et grand merci, Caroline.
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..un I* qui en a les larmes aux yeux..
un sourire si doux vers vous deux…
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cœur ému je suis et j’aime être bercée par ton rire, caroline, la belle
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Oh oui que j’aime ces mots qui m’entrainent et m’émeuvent et qui résonnent si bien.
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Publiez-vous votre poésie ? Les photos sont aussi très belles. Avec cette part de mystère.
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Merci pour vos mots, c’est bien apprécié.
Quant à ma poésie, je ne la publie pour l’instant que sur ce blog.
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A mon avis, un jour, vous la publierez ailleurs que sur ce blog. Vous avez un immense talent.
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Un grand merci.
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Magnifique texte, plein de ce charme qui est ta signature.
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Emu, quel joli mot qui dit tant en si peu de lettres
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Votre écriture est d’une telle qualité d’âme … du coup j’en oublie un peu les photos … mais je me rattraperai. Je suis ravie de découvrir votre blog
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