dans la tempête, je pensais à toi
à ce vent glacial qui est venu te mordre
de quoi trouver encore une fois
le sens du beau comme de l’absurde
le beau de la neige
et ce qu’elle entraîne de périls
le beau de l’amour
et ce qu’il amène de peine
∼
Photo : NEIGE, VENT, FILLE – 14 mars 2017 / Rue D’Iberville, Montréal
Si j'étais un arbre 
Merci Caroline pour ces mots si justes
« la joie venait toujours après la peine », disait le bon Apollinaire ; hé non, la joie et la peine voyagent ensemble et nous les accompagnons.
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..et cette photo-peinture qui le dit si bien aussi,
..et les mots, qui sont là, pour dire, pour consoler, même de l’absurde
..et le blanc de la neige pour le sourire du silence..
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Les tempêtes, de neige ou autre, semblent favoriser le retour vers soi. Merci Caroline et bon courage dans la neige 🙂
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Missed a lot… Love this one!
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à la manière de lemieux
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oh je suis si contente de découvrir ce si vibrant poème et cette photo *colorée*! j’adore!
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