Et les jours où l’oiseau suffit

on est grands
qu’on se dit
et pourtant si petits

j’entends ma ville
qui chante
et qui pleure à la fois

mais encore que l’eau reste
et le ciel
et la terre aussi

pour les tendres rivières à suivre
et les jours
où l’oiseau suffit

Photo – FILLE AU CENTRE-VILLE * Le 15 décembre * Montréal 2019

5 réponses à Et les jours où l’oiseau suffit

  1. Je l’entends, le matin,
    Les rideaux encore tirés,
    Un rayon tendre de lumière
    S’aventurant,
    Je l’entends, l’oiseau,
    Il me chante les mots,
    Les mots de l’amie, là-bas
    L’amie pourtant si proche..
    Merci l’oiseau.. Sourire

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