un vent chaud dans la cour
j’ai imité l’oiseau, sifflé comme lui
et j’ai pensé à mon père, son amour de la vie
dans mes plus beaux souvenirs d’enfance
il y a mon chemin seule
pour me rendre à l’école
si jamais un jour je meurs
j’emporterai avec moi
toutes les promesses de l’incertain
et tous les soleils de l’errance
Photo – LE MERLE PERCHÉ * Hier, au-dessus de la cour – Montréal
Étreintes vertes de soleils innombrables…
J’aimeAimé par 2 personnes
Merci d’avoir partagé ce très beau texte.
J’aimeAimé par 1 personne
J’envie l’optimisme de tes mots. Si jamais un jour je ne meurs pas, j’espère que l’éternité ne sera pas trop ennuyante, surtout vers la fin.
J’aimeAimé par 1 personne
Magnifique.
J’aimeAimé par 1 personne
L’incertain, rien de plus terrifiant, et pourtant fenêtre sur tous les possibles
J’aimeAimé par 1 personne
… et le brouillard dense et le sentier caché.
Bise et douceur et sourire, Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
Alors, mains dans la main,
Coeur contre coeur,
Nous le chanterons encore..
Merci, tendre toi,
C’est si beau
J’aimeAimé par 2 personnes
Plaisir de retrouver la persistance de la beauté de tes mots, et de tes évocations.
J’aimeAimé par 1 personne
Je fais le pari qu’en toi rien ne mourra. Tant de beauté tu nous donnes.
J’aimeAimé par 1 personne