y a des jours où vraiment
j’ai du mal à me cuire
je vadrouille, je contourne
j’avance et je recule
puis vient enfin le temps
où je lâche le morceau
c’est que j’veux qu’il soit beau
mais surtout qu’il soit bon
bon et tendre à souhait
tendre, oui
comme un bon gros gâteau
qu’on sortirait du four
au fait, j’y pense
mon nom, c’est…
aaaah voilà, tout s’éclaire maintenant…
croustillant en surface et moelleux à souhait à l’intérieur
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En plus celui-là on peut en manger à volonté.
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J’ai déjà dit qu’il y a chez vous quelque chose comme d’un Brautigan apaisé (ou quelque chose qui m’évoque à peu près ça) ?
« il y a vraiment des jours ou j’ai du mal à me cuire » !!! joli !!
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Photo tendre et mots doux, le plaisir se déguste avec lenteur. Bonjour Caroline, heureuse de cueillir à nouveau tes mots.
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Memories from my own childhood in your sweet words Caroline, make me treasure the precious time my parents give to me and my brothers.
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