En Norvège, avant 1889.
L’histoire a eu lieu sous mes yeux. J’y ai posé mon âme, mon cœur, mon corps. Et j’y ai vu le monde, de près ou de loin. Je l’ai touché aussi, avec bonheur et grâce au mieux, mais aussi peine et désarroi. En espérant seulement toujours que dans les passages doux comme dans les difficiles, la musique me vienne. Que je sache tenir la mesure.
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Photo : INCONNUE / LE CORPS GRAVE – Tirée de la même collection de photos trouvées dans le grenier d’une vieille maison de la Caroline du Nord. Celle-ci a été prise à Christiania (maintenant Oslo) en Norvège. Aucune date n’y est inscrite. Mais le photographe, Johan Thorsen, est mort en 1889.
Pour moi, même s’il y a peu de musiciens norvégiens connus (à part Grieg), musique et Norvège vont ensemble avec une nature omniprésente qui domine les constructions humaines
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La mesure des mesures. La musique peu se passer de mesure, pas facilement de démesure. J’ai vécu une transe musicale qui n’était que démesure et qui a laissé toutes les cellules de mon corps vibrantes de plaisir. Alors en mesure, certes, et également en démesure. Bises, Caroline.
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Beau et émouvant…
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que j’aime cette série,
chaque photo a une âme,
chacun de tes mots la fait revivre..
merci, belle caroline
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Émouvante association que ces photographies d’inconnu(e)s et ces textes à fleur d’âme …
Une belle série qui va droit au coeur …
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Quelle entente entre ce texte et cette photo, que dis-je quelle résonance…
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