quand je dis toi, je dis moi
sinon je suis sans existence
le coeur sans la terre
le ciel sans la mer
on n’imagine pas le monde
sans tempête
un désert gris sans rien
d’autre que lui-même
et si je tremble encore
c’est parce que je ne sais
rien faire
mieux qu’aimer
le reste est ma blessure
mon lot de circonstances
pour en être
le temps d’une vie
∼
Photo : L’ILE AU BOUT DE MA LENTILLE * 5 avril 2018 * Lac des Deux Montagnes, vu de l’autoroute 40
Your words carry so much light with them. Thank you.
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Merveille…
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L’île au bout de ta lentille, forcément toujours, tu sais. Et pour tes mots, tu sais aussi.
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cette photo me fait rêver et je m’envole loin…..loin……..oh merci pour *tout*, caroline!
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Heureusement que le temps d’une vie, on a le temps d’aimer. La photo est superbe ! Belle semaine Caroline.
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Ne savoir rien faire d’autre qu’aimer, quel programme !!!
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« si je tremble encore
c’est parce que je ne sais
rien faire mieux qu’aimer
le reste est ma blessure »
Cette chose que j’ai tant eu de mal à faire comprendre, et qui m’a tant fait me retourner en moi même.
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