Quelques larmes avant la suite, comme
un poème pour sortir du tunnel. La nuit
te dira ce qu’elle a à te dire. Elle te
parlera de l’eau peut-être, ou de toi
qui en manques. Des mains de l’autre,
à la source. Celle du cœur, pour qu’il
s’ouvre. Et des mots, comme un chemin
où marcher doucement. Sans trop de bruit.
Juste assez fort pour que les murs
te renvoient un écho.
Photo : MATINALE * 11 avril 2018 * Dans l’arrondissement Ville-Marie
larmer tout son saoul, de peine, de contentement ou de joie … plutôt que de se raidir à l’intérieur. Une bise, Caroline.
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