Dehors, le temps se déploie.
La poigne du froid a vaincu les bourgeons.
Et ton corps qui bien sûr a largué les amarres.
Et l’absence qui s’installe à l’intérieur de moi.
C’était à s’y attendre sans doute.
Et là de voir la neige qui poudroie l’horizon.
Et d’en être encore.
Photo – GLACE * Sur le mont Royal, 28 décembre 2019 – Montréal
Si j'étais un arbre 
Merci Caroline pour ta poésie que j’aime tant. Je te souhaite une belle année remplie d’inspiration.
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Le froid semble être une denrée qui se raréfie !
Douceur et sourire, Caroline.
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La neige à l’horizon, et c’est un nouveau jour, une nouvelle année qui vient, chargée de promesses. Qu’importe qu’elles soient tenues, certaines le seront, et c’est suffisant pour continuer d’avancer. Je te souhaite une très belle année 2020 Caroline.
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Toute disparition est poignante, on la sent d’abord dans son corps, une crispation, une douleur infuse, et puis après partout. Et au fond on ne s’attend jamais vraiment à ce qui nous attend. Toutes mes pensées, infinie Caroline.
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Belle poésie
Effectivement mon fils arrivé à Montréal vendredi 27 pour y poursuivre ses études est allé au mont Royal le samedi.
Il me montrait les clichés et un direct de la montée verglacée où chacun essayait de rejoindre, comme il pouvait, le sommet.
Evelyne. (Franche Comté-France)
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Froid n’atteint pas le coeur,
pas le tien pour sûr ;o)
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Belle année à vous et encore merci pour ces moments de poésie partagés
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