Drapé, le soir.
Et dans le découvert des heures, il y avait ma joue.
Mouillée de bruine par les nocturnes électriques.
Parce que le ciel toujours y tangue.
Sans jamais divorcer du sombre ni du beau.
Et en dessous, nos jardins qui suffoquent.
Si pleins de leur désir vivant.
Des fleurs calées sur d’autres horizons.
À commencer par l’aube.
Photo – POUR TOUS NOS TENDRES MOMENTS * Juillet 2020 – Ripon
Une joue qui attend dans le découvert des heures, un réconfort ou une infortune, un rendez-vous manqué au hasard des occurrences.
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Merci…
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Quand les yeux sont juste assez pincés pour percevoir le nimbe autour …
Bise et douceur, Caroline.
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Le beau et le sombre, parfois d’une seule et même voix… Merci
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