T’as eu envie du soir.
Et de sentir le temps qui bouge.
Comme un coeur en désert, sur le pas des vivants.
T’as marché du seuil au venant.
En te coulant dans la tempête pour y trouver le puits.
Tu rêvais de grands éléphants.
T’as trouvé une rivière, émaillée de veines sauvages.
C’est quand même nos chairs qui se butent.
Pour y cueillir les jours d’une histoire à écrire.
Photo – ALLONGEMENT DE CORPS, ET MAIN SUR L’INVISIBLE * Juillet 2020 – Ripon
Ici,
la nuit enveloppe les rêves d’histoires
& les phares au désespoir balayent l’horizon
🌗
Toi,
la lune brille en croissant, le nez au ciel noir
Ton œil d’ étincelles choisit d’être constellation.
🌑
Amical mirliton
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Chairs comme pulpe du mot…
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Beau… très beau…
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oh quelle photo!!! il y a tant à y voir….comme dans tes mots….merci merveilleuse Caroline….bises et douceur
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Se laisser porter,
Par tes mots si touchants,
Qui me donnent l’envol,
Se laisser bercer, par la trompe
De cet éléphant sublime,
« le temps d’y être »..
Un tendre sourire, belle Caroline
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Merci pour ce lointain voyage
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