Tous ces oiseaux dans la cour.
C’est la vigne et le bain de pierre.
Peut-être aussi le piano.
Qui traverse la ruelle comme autant de feutres d’âme.
Qu’est-ce que tu dis?
Rien, c’est pas grave.
Je parlais un peu de l’indomptable.
Sans lequel on n’aurait
ni piano ni feutres d’âme.
Ni d’amis. Et ni de coeur ni d’oiseaux.
Photo – UNE PART DU RÊVE * Rue St-Laurent, Août 2020, Montréal
Ce matin en déjeunant j’ai vu un oiseau frapper la vitre de ma porte. Je l’ai regardé lâcher son dernier souffle. Je filais croche un peu. Tes mots me ramènent un peu de feutre sur l’âme.
J’aimeAimé par 1 personne
Nul doute que le musée du feutre à Mouzon a une âme. Nul doute également que, souvent, les œuvres exposées en ont une, belle. L’enchevêtrement des fibres est bien à l’image de l’enchevêtrement des pensées.
Vivent le et la Saint-Laurent et bise et douceur, Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
Une poésie à lire et relire…
Tes mots si justes qu’ils touchent le coeur…
L’indomptable, oui…
Merci, Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
Un silence,
de plume de linotte
vole au vent
mais accorde un temps
au son feutré
des marteaux du piano.
🌬💨
Mirliton mécano
J’aimeAimé par 1 personne
..mais « une part du rêve »..sourire
Merci, ma tendre amie
J’aimeAimé par 1 personne
Des mots superbes qui touchent loin.
J’aimeAimé par 1 personne