C’est mon souffle et ma peau qui les savent.
Là où les hauts peupliers s’abandonnent, je regarde leurs feuilles qui frémissent dans le vent et je me dis qu’elles bruissent pour lui faire l’amour, et la montagne au loin, qu’elle inspire à la brume sa laitance d’aquarelle.
L’air est frais et humide. Il est tôt, on sait qu’il changera.
Et la forêt qui chante à plein ciel la vie.
Photo – BOULEAUX ET PEUPLIERS AU MILIEU DU JOUR * Ripon, Août 2020
Tu as le verbe bien heureux ce matin, bonne journée!
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Là haut,
les peupliers que survolent des corbeaux & qui grattent le dos des nuages.
🌬🌊amical mirliton
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Quand le tremblement double la photosynthèse, vive le tremble !
Bise et douceur, Caroline.
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Qu’elle te chante la forêt,
Qu’elle te chante les joies
Et la liberté de l’errance..
Si tendrement..
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Beau ❤️
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