je t’écris
depuis un jour de vent
et la caresse rare
d’une grande chaleur
le carré de jardin
a des airs de sous-bois
j’hésite encore pour les mots d’O.
je sais plus trop, tu vois
les arbres poussent
et mon corps est ailleurs
PHOTO : QUELQUE PART AVANT L’ORAGE – Montréal * Mai 2022
Si j'étais un arbre 
Mon sous-bois frémit dans les grands vents des cimes et le diable est aux vaches dans le ciel. Il pleut des salades inmangeables.
J’aimeAimé par 1 personne
on se dilue dans le tout
panthéisme
être à la marge de tout
lisière
ce qui peut faire basculer d’un côté ou de l’autre
frontières
les empires n’ont amené que la mort
mais pas la mort pourriture
une vitrification suprême
l’ordre total
numéro
zéro
J’aimeAimé par 1 personne
Tes images sont fantastiques. J’aime l’écrin monochrome dans lequel tu les présentes, ainsi que ce flou qui les baigne dans une délicieuse incertitude , comme tes mots.
J’aimeAimé par 1 personne