Un écho pour ceux et celles
qui ont été interpelés d’une même manière
par mon dernier billet…
et si je vous disais du vent
que sa musique dans les feuilles
est pour moi l’une des plus belles,
me reprocheriez-vous de taire
qu’il souffle parfois tellement fort
que sa portée devient cruelle…
de même si je disais du ciel
à quel point sa beauté m’emporte,
me faudrait-il vous dire aussi
que celle de la terre me transporte…
En roulant sur la 15 – Fin août 2013
En passant, merci à vous qui me lisez.
Répondre à La beauté n’empêche rien