L’odeur des feuilles, des peaux,
des écorces, de la terre qui gèle.
Là encore, j’y mettrais bien une vie.
Ce matin, le nez contre son dos,
je me suis dit que si un jour je meurs,
les odeurs dans leur forme subtile me manqueront
et feront partie de ces choses qui m’auront trop souvent,
tant pis pour moi, passé sous le nez.
Mais bon, c’est seulement si un jour je meurs.
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