Accelerando Je m’arrête de moins en moins à la pensée du temps qui file. Parce que mon vertige est chaque fois plus grand que la fois d’avant. Et puis j’ai jamais trop aimé la vitesse. Mais bon, ça c’est une autre histoire. ASSISE J’ÉTAIS DANS UN TRAIN DE BANLIEUE – Le 17 avril, dans les Basses-Laurentides. PartageE-mailTwitterFacebookPinterest Publié par Caroline D Poésie et photographie (Montréal, Québec) Répondre à Accelerando Votre commentaire Annuler la réponse. Entrez votre commentaire... Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire: E-mail (obligatoire) (adresse strictement confidentielle) Nom (obligatoire) Site web Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer ) Annuler Connexion à %s Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Δ
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