Je suis tombée amoureuse d’un arbre cette semaine.
Il avait tout d’un prince charmant.
Il m’a emmenée sur son cheval
au moment où je dessinais dans ma tête
la nostalgie d’enfants qui jouent auprès de vieux qui chantent.
Je pensais à ce chemin pris il y a longtemps déjà
qui menait là où on se trouve.
D’un bord nos vieux, de l’autre nos petits.
L’évolution industrielle.
Et la tribu à la poubelle.
En galopant, on a parlé des belles choses.
Et j’ai senti le vent qui portait le temps doux.
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