Vas-y, que j’lui ai dit, le plancher est à toi.
Et elle s’est lancée, comme une âme sur l’infini.
je fais le rêve d’un grand plancher
où tu pourras danser et virevolter
sans t’accrocher les pieds
un plancher vide
des conditionnements qui aveuglent
et des autres pressions sournoises
qui volent autant du quotidien
tellement bien déguisées qu’elles sont
en choix et libertés
un grand plancher débarrassé
de ce qui fait qu’on perd du temps
à s’enfarger dans le futile
pendant que passe l’important
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