comment rester lucide
sans me sentir complice
le matin
la nuit
au creux de mes parures
quand j’entends moi aussi
les cris
pour un peu que je la regarde
elle est là, ma déchirure
et je n’ai que le courage
de m’acharner sur la beauté
AU FIL DES JOURS – Janvier 2017
Si j'étais un arbre 
oh belle caroline, ne l’abandonne pas la beauté…sourire…un sourire d’une infinie tendresse
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S’acharner sur la beauté c’est faire œuvre utile selon moi, je dirais même essentielle
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Beau courage !
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Un beau noir et blanc
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Ouf! ce texte est un coup de poing dans l’estomac !
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Je parcours au rebours du temps qui s’est écoulé tous les textes que vous avez écrits et je reste comme accrochée à l’évidente beauté de celui-ci …. ravie de vous retrouver Caroline et de vous lire …
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