Je ne sais rien de l’infini.
Sinon que j’en suis.
Nue, attachée au jour.
Comme à un port.
D’où vivre le rêve.
Et tandis que j’écris, enfin la pluie.
Et l’orage qui gronde.
Et mon cœur qui se serre.
Pas trop. Juste assez pour que je me rappelle.
La beauté du monde. Quoi qu’il en soit.
Photo : FEMME ET BÉTON – Dans la Petite Italie * Montréal – Août 2018
Si j'étais un arbre 
ce n’est que trop vrai………et j’en suis…..aussi
avec toi, tendrement…poétiquement…bisous, caroline
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nue, tu nous offres tant,
nue, tu nous offres tes liens,
jusqu’à cette beauté
qui me touche au fond du coeur..
merci, tendre caroline,
ici, on l’attend encore, cet orage..sourire
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Des mots simples, des mots purs.
Une très belle photo!
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que tu nous le rappelles toi aussi, merci pour cela !
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