il fallait bien que le temps passe
sinon il n’y en aurait pas eu
un peu aussi que la vie flanche
sinon je n’en aurais rien vu
et voilà que l’automne se penche
pour y laisser venir l’hiver
et moi qui ne demande pas plus
que d’en être et n’en parlons plus
∼
Photo : RUE DE LA ROCHE * Hier, dans mon quartier
Si j'étais un arbre 
…et j’en suis avec toi, avec nous tous…en tendresse et en affection aussi!
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Oui ce bonheur parfois d’être là tout simplement.
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La gomme de l’automne est bien étrange. Alors que la mienne efface ce qui la précéde, celle de l’automne met une couche de blanc par dessus. Bises et douce journée, Caroline.
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« que d’y être et n’en parlons plus »…
nous y sommes, et parlons-en
avec plaisir
🙂
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avec plaisir…
…. et tout l’automne et l’hiver.
au printemps,
il sera temps
de parler d’autre chose
(du temps ?)
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I felt it too, Caroline. And wanted to tell you. And here you are telling me with your beautiful ways, as always. The graceful way your words mark the move from season into season, faster and faster it seems, time passes faster demanding more and more faith from me. Your beautiful words remind me how in that gentle sadness, maybe despite of it, or because of it, I’m grateful to be alive. Thank you.
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oui, douce caroline, accompagner le mouvement………tout *simplement*
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se laisser porter,
amoureusement,
par ce doré et son vent
qui doucement nous amènera le blanc…
.. »simplement »….sourire
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Comme si les saisons étaient des vases communicants se déversant lentement l’une dans l’autre…
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