Certaines âmes nous savent.
Et nous réparent du reste.
Tout contre vous, je me repose.
Une ronde douce, des heures qui bercent.
Et ce matin, les feuilles de l’érable devant.
Celles qui dansent surtout, au plus près du ciel et du vent.
Dans l’effarante lumière de l’automne.
Photo – LE BLEU TURQUOISE DE NATHALIE * Hier, dans la Petite Nation
Vos poèmes me font sentir le vent, la lumière de chaque heure du jour, ainsi que le vent et la lumière d’âmes présentes et absentes.
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L’indefectible,
Comme le souffle
Qui fait danser
Les feuilles de ton érable,
Ce souffle
Qui donne vie
À en rougir de douceur..
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Les arbres parlent aux Dieux et aux Anciens.
Bise et douceur, Caroline.
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Toujours présente et antenne de mots qui nous lient et nous délivrent. Merci Caroline
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D’arbre en arbre les feuilles s’agitent
Elles te répondent déjà que le vent les emportent
Elles changent de saison
Même les oiseaux pourtant ces derniers fanfarons,
Se retrouvent étonnés d’être découverts.
Toi, tu vas écoutant à tes pas un tapis de feuilles.
~
Amical Mirliton
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Merveilleux arbre que votre érable !
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Je vais passer tout ce premier à te lire. Et le texte que je t’avais envoyé, ça y est je l’ai publié dans une toute petite revue. Et pour être avec toi en pensée, tellement je sens dans ton écriture tout cela, n’est-ce pas…
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