Tout finit par mourir, excepté la conscience qui témoigne pour la vie.
René Char
dis-moi ce silence dehors
j’ai mis un violon une voix
de quoi remplir l’espace
mais dis-le-moi quand même
quand on sait à peine la danse
à peine l’errance
de vivre et de mourir
et d’aussi loin que la mémoire
tout ce désir de l’autre
Photo : DE MA FENÊTRE ARRIÈRE – 17 Janvier 2021 * Montréal
Te dire le silence dans tous ces mots qu’on ne fait qu’écrire.
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Une réflexion importante, une belle poésie et une magnifique photo. Je vous remercie!!
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Je me suis beaucoup interrogée…
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Je ne peux lui donner que mon propre sens.
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cette mémoire qui marche sur son propre fil. Merci
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Que c’est beau…
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« savoir à peine » illustre bien tout le savoir. Un sourire !
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..tes mots,
Ceux de Char,
Le silence,
L’errance,
La mémoire
Et surtout « ce désir de l’autre »..
Alors comment ne pas être touchée, tout au fond, ma tendre amie…
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