La science se doit d’être poétique.
Puisque la nature l’est.
–
De mes jours,
je pourrais ne dire que le triste.
Mais j’écris d’abord pour moi.
Pour conjurer les grandes vagues.
Qu’elles n’emportent pas tout
de mon bonheur d’y être.
–
Et encore cette femme qui chante.
Ce quelque chose dans sa voix.
D’entre ces lieux où je me berce.
Où je me sens tranquille.
–
L’océan porte les bateaux.
Et nos âmes le monde.
Photo : POUR Y VOIR – Janvier 2021 * Montréal
c’est beau…
je chante pour cette même qui a quelque chose dans la voix….
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Profondément touchée par tes mots…
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oui touchée aussi
merci
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La science ces jours-ci est politique. Elle oublie la nature, peut-être ? Les grandes vagues nous renversent, mais nous émeuvent aussi, tout comme tes mots.
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Beau poème et photographie.
Merci et bonne semaine.
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Et l’océan m’apporte tes mots, si touchants,
Tes images, si belles,
Vagues d’une tendre amie
Dont je me sens si proche…
Merci à lui,
Merci à toi, belle Caroline
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un peu plus
chaque soir
cette vague
si loin du pied
des falaises
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