J’y réponds vers le jour. De quoi faire une tache
sur le même tableau. Un poids fragile, de patience
et de roche, pour détourner un courant chaud jusqu’à
ton corps à la dérive, et trouver dans les vents qui changent
nos regards qui se mêlent. Le bel obscur qui se faufile
au détour des montagnes. Et l’âme qui tient du néant,
du chaos germinal. De quoi embrasser l’aube
au dernier soupir de la nuit.
Photo : BONTÉ D’HIVER – Février 2021 * Montréal
Un peu par ici aussi de ce courant chaud de grâce.
J’aimeAimé par 1 personne
Pourvu qu’il y ait courant, je suis heureux ! Chaud, froid, d’air, de pensée, artistique, lent, superficiel, profond … tout est bon !
Bise et douceur et sourire, chère Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
Ce matin,
Grise mine, la souris,
L’œil encore dans la nuit
Sourit aux caresses de l’air
d’un chocolat chaud .
Moi, encore sous la couette,
D’un regard aussi la caresse.
🌬mirliton
J’aimeAimé par 1 personne
Le chaos germinal… J’aime cette image ou la graine ne pousse que de la terre chamboulée, ne vit que parce qu’elle change d’état et va vers l’inconnu de la pleine lumière. Douce pensée vers toi Caroline.
J’aimeAimé par 1 personne
Lire tes mots
Dans cette lumière qui rosit,
Doucement..
Fin d’après-midi..
Lumière du froid, du très froid,
Pour ce courant d’air chaud…
Merci, tendre toi,
Merci pour eux,
Merci pour tout..sourire
J’aimeAimé par 1 personne
et les seuls noms qui s’animent sont aussi ceux qui n’ont pas de visage. Merci !
J’aimeAimé par 1 personne