j’avance vers toi
comme je marche au poème
au caillou
et au bout de bois mort
sans rien derrière la tête
que l’arbre et le ciel
Si je cours à l’image, c’est avec nulle part où aller.
Et pour l’espoir sans doute, tout ambulant qu’il est.

Photo : LE TEMPS * Octobre 2021 – Montréal
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